Evénements par cet organisateur

Kevin est de retour !

Il y a ces enseignant·e·s passionné·e·s et compétent·e·s, dont la personnalité constitue en soi une leçon de vie. Il y a aussi ces parents dévoués, ces jeunes ambitieux·se·s et ces directions d’établissements engagées, qui luttent sans relâche. Mais ce spectacle ne parlera pas d’eux. Il parlera de Kevin. Car pour Kevin, l’école n’a été qu’une source d’échec…

Arnaud Hoedt et Jérôme Piron poursuivent leur exploration du système éducatif avec Kevin. Cette fois-ci, ils portent un regard à la fois naïf et partial, documenté et allègrement désinvolte sur l’institution elle-même. Avec une énergie communicative, ils dévoilent les nombreuses raisons – sociologiques, structurelles, cognitives et pédagogiques – pour lesquelles l’école ne parvient pas à tenir sa promesse d’offrir à chaque enfant les mêmes opportunités de réussite.

Avant le spectacle, ne manquez pas la formation IFEN, Rencontre autour des inégalités scolaires au Luxembourg, avec Caroline Hornung et Sonja Ugen ; elles reviendront à cette occasion sur les facteurs d’inégalités scolaires saillants au Luxembourg à partir de leurs champs d’expertise respectifs.
Un bord de scène viendra clôturer cette soirée.

INTRODUCTION À LA PIÈCE PAR STÉPHANE GILBART À 19:45.

Une approche pop et iconoclaste de l’invariabilité du participe passé des verbes qui utilisent l’auxiliaire avoir, en fonction de la position du complément dans la phrase.

L’orthographe française : un dogme intime lié à l’enfance et un dogme public qui façonne notre rapport collectif à la culture et à la tradition. Cet outil technique, déguisé en objet de prestige, pousse certain·e·s à appeler ses absurdités des subtilités ! Alors qu’ils explorent les défis du système éducatif dans Kevin, présenté le vendredi 4 octobre, Arnaud Hoedt et Jérôme Piron, anciens professeurs de français, nous offrent avec La Convivialité un regard critique, rafraîchissant et décomplexant sur l’orthographe. Véritable passion pour les un·e·s, chemin de croix pour les autres, elle est finalement sacrée pour tou·te·s. Et pourtant, il ne s’agit peut-être que d’un énorme malentendu…

La représentation sera suivie d’un bord de scène.

Formé dans les plus grandes écoles internationales, Basile Narcy nous invite dans son univers empreint de magie, de cirque et de danse, qui n’est pas sans évoquer Charlie Chaplin et Jacques Tati.

Monsieur N. travaille au sein de la société La Page blanche où, chaque jour, il s’assied à son bureau avec pour seule compagnie une pile de feuilles. Pourtant, son imagination le démange et le plaisir d’inventer lui est irrésistible. Une poubelle, un balai, un carton, une chaise, un bureau… – il transforme chaque objet en obstacle à apprivoiser avant d’en faire un allié facétieux.

Du geste le plus infime à l’acte le plus acrobatique, Monsieur N. repousse sans cesse les limites de cet espace où il s’est lui-même emprisonné. D’une éclipse à l’autre, d’équilibres en déséquilibres, il est doucement conduit hors de ce bureau, vers lui-même, vers l’inconnu…

Comment peut-on mourir sans raison ? Inspiré d’un fait réel, ce poignant monologue raconte, avec fracas, une violence du quotidien souvent ignorée.

C’est l’histoire d’un meurtre gratuit. Un homme entre dans un supermarché, ouvre une canette de bière et la boit. Quatre vigiles surgissent, l’encerclent et l’emmènent dans la réserve. Là, au milieu des conserves, ils le battent à mort. Pour une canette. Pour rien.

Accompagné d’un musicien, le narrateur, incarné par Luc Schiltz, s’empare de cette tragédie pour en saisir les mécanismes et comprendre les origines d’une violence qui semble être omniprésente dans notre société. En nous plongeant dans la tête de la victime, partageant à la fois ses souvenirs et ses derniers instants, il nous confie, comme une responsabilité, la mémoire et la douloureuse humanité de cet homme.

Comment peut-on mourir sans raison ? Inspiré d’un fait réel, ce poignant monologue raconte, avec fracas, une violence du quotidien souvent ignorée.

C’est l’histoire d’un meurtre gratuit. Un homme entre dans un supermarché, ouvre une canette de bière et la boit. Quatre vigiles surgissent, l’encerclent et l’emmènent dans la réserve. Là, au milieu des conserves, ils le battent à mort. Pour une canette. Pour rien.

Accompagné d’un musicien, le narrateur, incarné par Luc Schiltz, s’empare de cette tragédie pour en saisir les mécanismes et comprendre les origines d’une violence qui semble être omniprésente dans notre société. En nous plongeant dans la tête de la victime, partageant à la fois ses souvenirs et ses derniers instants, il nous confie, comme une responsabilité, la mémoire et la douloureuse humanité de cet homme.