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Michel Medinger, photographe luxembourgeois né en 1941 à Neudorf (Luxembourg-Ville), s’est distingué par différentes séries photographiques et en particulier par ses natures mortes en noir et blanc. Du 1er juillet au 29 septembre 2024, une grande exposition lui est consacrée par Lët’z Arles, à la Chapelle de la Charité, dans le cadre des célèbres Rencontres de la photographie d’Arles, sous le commissariat de Sylvie Meunier. Une monographie est publiée à cette occasion.

Au Parc de Merl, deux séries de photographies sont exposées, celle des « Pompes à essence » ainsi que celle montrant des objets de sport, révélant la passion pour le sport de Michel Medinger qui a, en athlétisme, participé aux Jeux Olympiques de Tokyo en 1964. Une série qui, bien évidemment, considère l’actualité des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris de cet été. Une deuxième exposition de Michel Medinger se trouve simultanément, du 4 juin au 7 octobre 2024, dans le jardin de l’Hospice civil de Hamm à Luxembourg-Ville

À l’occasion d’importantes acquisitions récentes emblématiques du collectif Supports/Surfaces, le musée revient plus amplement sur ce courant artistique en présentant l’ensemble de ses œuvres.

Prenez la mesure de l’étendue de notre collection publique, particulièrement riche, diversifiée et représentative de ce mouvement d’avant-garde et apprenez comment dès les années 60, leurs pionniers, d’Arnal à Viallat en passant par Grand et Pagès, exercent une influence brève mais décisive sur le paysage artistique en France et au-delà. En s’opposant radicalement, sur le plan idéologique et esthétique, aux courants majeurs de leur temps, en prônant le rejet des supports traditionnels et en déconstruisant les codes de la peinture, les membres du collectif vont explorer de nouvelles formes et de nouveaux gestes. Ainsi s’attachent-ils à la matérialité même du médium, sondant les qualités propres à la toile pour aboutir à des œuvres insolites et d’une grande inventivité. Venez découvrir les figures qui dans l’Hexagone ont préfiguré l’art contemporain avec audace!

Kevin est de retour !

Il y a ces enseignant·e·s passionné·e·s et compétent·e·s, dont la personnalité constitue en soi une leçon de vie. Il y a aussi ces parents dévoués, ces jeunes ambitieux·se·s et ces directions d’établissements engagées, qui luttent sans relâche. Mais ce spectacle ne parlera pas d’eux. Il parlera de Kevin. Car pour Kevin, l’école n’a été qu’une source d’échec…

Arnaud Hoedt et Jérôme Piron poursuivent leur exploration du système éducatif avec Kevin. Cette fois-ci, ils portent un regard à la fois naïf et partial, documenté et allègrement désinvolte sur l’institution elle-même. Avec une énergie communicative, ils dévoilent les nombreuses raisons – sociologiques, structurelles, cognitives et pédagogiques – pour lesquelles l’école ne parvient pas à tenir sa promesse d’offrir à chaque enfant les mêmes opportunités de réussite.

Avant le spectacle, ne manquez pas la formation IFEN, Rencontre autour des inégalités scolaires au Luxembourg, avec Caroline Hornung et Sonja Ugen ; elles reviendront à cette occasion sur les facteurs d’inégalités scolaires saillants au Luxembourg à partir de leurs champs d’expertise respectifs.
Un bord de scène viendra clôturer cette soirée.

Après le succès retentissant de Songes d’une Nuit… en 2023, Myriam Muller et son équipe artistique énergique reprennent leur adaptation du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare aux Théâtres de la Ville.

Songes d’une Nuit… est une pièce haute en couleur, où le merveilleux le dispute au comique, opposant la nuit – espace des fantasmes, des songes et des rêves – au monde réel rigide et conservateur. Lysandre et Démétrius sont amoureux d’Hermia, qui a choisi le premier, tandis que le second est aimé d’Helena. Espérant résoudre leurs querelles, les jeunes gens se réfugient dans une forêt où, la nuit venue, la réalité bascule dans le rêve avec l’intervention d’un puissant philtre d’amour. Fées, elfes, une troupe de comédiens et comédiennes amateur.rice.s répétant Pyrame et Thisbé pour le mariage du Prince, et autres hommes à tête d’âne s’entrecroisent dans cette forêt étrange et magique, lieu de tous les possibles, le temps d’une nuit d’été ensorcelante, qui permet aux jeunes gens d’échapper aux rigueurs du diktat familial et de donner libre cours à leurs passions les plus débridées. Bâtie sur le principe typiquement baroque du théâtre dans le théâtre, la pièce permet une formidable réflexion et est un hommage au théâtre.

Dans un dispositif scénique ouvert et surprenant, Songes d’une Nuit… invite le public à célébrer une communion entre la scène et la salle. La pièce autorise le plaisir, l’échange, le participatif et permet de créer un moment de pure joie théâtrale en convoquant toutes les formes des arts de la scène. Un grand moment de fête !

Introduction par Ian De Toffoli ½ heure avant chaque représentation (FR).

INTRODUCTION À LA PIÈCE PAR STÉPHANE GILBART À 19:45.

Une approche pop et iconoclaste de l’invariabilité du participe passé des verbes qui utilisent l’auxiliaire avoir, en fonction de la position du complément dans la phrase.

L’orthographe française : un dogme intime lié à l’enfance et un dogme public qui façonne notre rapport collectif à la culture et à la tradition. Cet outil technique, déguisé en objet de prestige, pousse certain·e·s à appeler ses absurdités des subtilités ! Alors qu’ils explorent les défis du système éducatif dans Kevin, présenté le vendredi 4 octobre, Arnaud Hoedt et Jérôme Piron, anciens professeurs de français, nous offrent avec La Convivialité un regard critique, rafraîchissant et décomplexant sur l’orthographe. Véritable passion pour les un·e·s, chemin de croix pour les autres, elle est finalement sacrée pour tou·te·s. Et pourtant, il ne s’agit peut-être que d’un énorme malentendu…

La représentation sera suivie d’un bord de scène.

Après le succès retentissant de Songes d’une Nuit… en 2023, Myriam Muller et son équipe artistique énergique reprennent leur adaptation du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare aux Théâtres de la Ville.

Songes d’une Nuit… est une pièce haute en couleur, où le merveilleux le dispute au comique, opposant la nuit – espace des fantasmes, des songes et des rêves – au monde réel rigide et conservateur. Lysandre et Démétrius sont amoureux d’Hermia, qui a choisi le premier, tandis que le second est aimé d’Helena. Espérant résoudre leurs querelles, les jeunes gens se réfugient dans une forêt où, la nuit venue, la réalité bascule dans le rêve avec l’intervention d’un puissant philtre d’amour. Fées, elfes, une troupe de comédiens et comédiennes amateur.rice.s répétant Pyrame et Thisbé pour le mariage du Prince, et autres hommes à tête d’âne s’entrecroisent dans cette forêt étrange et magique, lieu de tous les possibles, le temps d’une nuit d’été ensorcelante, qui permet aux jeunes gens d’échapper aux rigueurs du diktat familial et de donner libre cours à leurs passions les plus débridées. Bâtie sur le principe typiquement baroque du théâtre dans le théâtre, la pièce permet une formidable réflexion et est un hommage au théâtre.

Dans un dispositif scénique ouvert et surprenant, Songes d’une Nuit… invite le public à célébrer une communion entre la scène et la salle. La pièce autorise le plaisir, l’échange, le participatif et permet de créer un moment de pure joie théâtrale en convoquant toutes les formes des arts de la scène. Un grand moment de fête !

Introduction par Ian De Toffoli ½ heure avant chaque représentation (FR).

Formé dans les plus grandes écoles internationales, Basile Narcy nous invite dans son univers empreint de magie, de cirque et de danse, qui n’est pas sans évoquer Charlie Chaplin et Jacques Tati.

Monsieur N. travaille au sein de la société La Page blanche où, chaque jour, il s’assied à son bureau avec pour seule compagnie une pile de feuilles. Pourtant, son imagination le démange et le plaisir d’inventer lui est irrésistible. Une poubelle, un balai, un carton, une chaise, un bureau… – il transforme chaque objet en obstacle à apprivoiser avant d’en faire un allié facétieux.

Du geste le plus infime à l’acte le plus acrobatique, Monsieur N. repousse sans cesse les limites de cet espace où il s’est lui-même emprisonné. D’une éclipse à l’autre, d’équilibres en déséquilibres, il est doucement conduit hors de ce bureau, vers lui-même, vers l’inconnu…

Plongez dans l’effervescence d’une cité en proie à la révolte.

Érine. Andréa. Suzanne.
Trois femmes qui ne se connaissent pas.
Mais qui ont un point commun : la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Confrontées à une vie qui ne leur va plus et démunies face au monde actuel, elles se réfugient dans leur sommeil, se retrouvent dans un rêve commun et organisent l’assassinat du fameux tyran de Syracuse. Le rêve semble ici le seul moyen de se reconstruire, la seule solution d’entrevoir des issues dans l’opacité du présent, la seule manière de se réapproprier quelque chose d’elles-mêmes, quelque chose du monde qui les entoure.

Récompensé par de nombreux prix, et grâce à sa plume poétique, Samuel Gallet s’impose comme l’une des voix les plus singulières et stimulantes de la scène théâtrale contemporaine. Avec La Ville ouverte, il invite le public à plonger dans un univers aussi fascinant que bouleversant et à vivre la fuite réelle et imaginaire de ces trois femmes, qui raconteront l’histoire de la fin d’un monde et la possible reconstruction d’un autre.

Texte : Samuel Gallet (Éditions Espaces 34)
Mise en scène : Aude-Laurence Biver
Avec : Juliette Allain, Bach Lan Lê-Ba Thi et Catherine Marques
Dramaturgie : Pierre Chevallier
Scénographie : Marco Godinho
Costumes : Carmen Di Pinto
Assistantes de mise en scène : Aurore Brugnera et Jillian Camarda
Création lumière : Manu Nourdin
Création sonore : Benjamin Zana 

20H : 18, 19, 24, 25, 26, 30 et 31 OCTOBRE 2024
17H : le 27 OCTOBRE 2024

Une co-production TOL/Compagnie du Grand Boube/Escher Theater

Quand Noémie apprend que son fils est accusé de viol, son passé enfoui ressurgit avec fracas. Elle n’a pas d’autres choix que de confronter ses deux amis d’enfance, Vincent et Sébastien, qui l’ont agressée 25 ans plus tôt sur le bord du fleuve Saint-Laurent. Face au déni, face à la honte, le cours tranquille de la vie de l’ensemble des protagonistes va basculer… Récompensée en 2023 comme la meilleure œuvre dramatique au Québec, Les glaces casse les stéréotypes autour de l’agression sexuelle, tout en levant le voile sur les émotions qui poussent à s’emmurer dans un silence assourdissant, puis à le briser, courageusement.

Plongez dans l’effervescence d’une cité en proie à la révolte.

Érine. Andréa. Suzanne.
Trois femmes qui ne se connaissent pas.
Mais qui ont un point commun : la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Confrontées à une vie qui ne leur va plus et démunies face au monde actuel, elles se réfugient dans leur sommeil, se retrouvent dans un rêve commun et organisent l’assassinat du fameux tyran de Syracuse. Le rêve semble ici le seul moyen de se reconstruire, la seule solution d’entrevoir des issues dans l’opacité du présent, la seule manière de se réapproprier quelque chose d’elles-mêmes, quelque chose du monde qui les entoure.

Récompensé par de nombreux prix, et grâce à sa plume poétique, Samuel Gallet s’impose comme l’une des voix les plus singulières et stimulantes de la scène théâtrale contemporaine. Avec La Ville ouverte, il invite le public à plonger dans un univers aussi fascinant que bouleversant et à vivre la fuite réelle et imaginaire de ces trois femmes, qui raconteront l’histoire de la fin d’un monde et la possible reconstruction d’un autre.

Texte : Samuel Gallet (Éditions Espaces 34)
Mise en scène : Aude-Laurence Biver
Avec : Juliette Allain, Bach Lan Lê-Ba Thi et Catherine Marques
Dramaturgie : Pierre Chevallier
Scénographie : Marco Godinho
Costumes : Carmen Di Pinto
Assistantes de mise en scène : Aurore Brugnera et Jillian Camarda
Création lumière : Manu Nourdin
Création sonore : Benjamin Zana 

20H : 18, 19, 24, 25, 26, 30 et 31 OCTOBRE 2024
17H : le 27 OCTOBRE 2024

Une co-production TOL/Compagnie du Grand Boube/Escher Theater

Quand Noémie apprend que son fils est accusé de viol, son passé enfoui ressurgit avec fracas. Elle n’a pas d’autres choix que de confronter ses deux amis d’enfance, Vincent et Sébastien, qui l’ont agressée 25 ans plus tôt sur le bord du fleuve Saint-Laurent. Face au déni, face à la honte, le cours tranquille de la vie de l’ensemble des protagonistes va basculer… Récompensée en 2023 comme la meilleure œuvre dramatique au Québec, Les glaces casse les stéréotypes autour de l’agression sexuelle, tout en levant le voile sur les émotions qui poussent à s’emmurer dans un silence assourdissant, puis à le briser, courageusement.

Comment peut-on mourir sans raison ? Inspiré d’un fait réel, ce poignant monologue raconte, avec fracas, une violence du quotidien souvent ignorée.

C’est l’histoire d’un meurtre gratuit. Un homme entre dans un supermarché, ouvre une canette de bière et la boit. Quatre vigiles surgissent, l’encerclent et l’emmènent dans la réserve. Là, au milieu des conserves, ils le battent à mort. Pour une canette. Pour rien.

Accompagné d’un musicien, le narrateur, incarné par Luc Schiltz, s’empare de cette tragédie pour en saisir les mécanismes et comprendre les origines d’une violence qui semble être omniprésente dans notre société. En nous plongeant dans la tête de la victime, partageant à la fois ses souvenirs et ses derniers instants, il nous confie, comme une responsabilité, la mémoire et la douloureuse humanité de cet homme.

La traditionnelle Foire de l’étudiant organisée par le ministère de la Recherche et de l’Enseignement supérieur en étroite collaboration avec l’ACEL (Association des cercles d’étudiants luxembourgeois) aura lieu au campus universitaire de Belval, les 24 et 25 octobre 2024.

À cette occasion, l’Institut français du Luxembourg sera présent pour présenter l’offre universitaire française et les procédures d’inscriptions, notamment Parcousup ! Rendez-vous les 24 & 25 octobre sur le pavillon France, à Belval – mais aussi en ligne sur notre stand virtuel, du 16 octobre 2024 au 3 janvier 2025 !

Plongez dans l’effervescence d’une cité en proie à la révolte.

Érine. Andréa. Suzanne.
Trois femmes qui ne se connaissent pas.
Mais qui ont un point commun : la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Confrontées à une vie qui ne leur va plus et démunies face au monde actuel, elles se réfugient dans leur sommeil, se retrouvent dans un rêve commun et organisent l’assassinat du fameux tyran de Syracuse. Le rêve semble ici le seul moyen de se reconstruire, la seule solution d’entrevoir des issues dans l’opacité du présent, la seule manière de se réapproprier quelque chose d’elles-mêmes, quelque chose du monde qui les entoure.

Récompensé par de nombreux prix, et grâce à sa plume poétique, Samuel Gallet s’impose comme l’une des voix les plus singulières et stimulantes de la scène théâtrale contemporaine. Avec La Ville ouverte, il invite le public à plonger dans un univers aussi fascinant que bouleversant et à vivre la fuite réelle et imaginaire de ces trois femmes, qui raconteront l’histoire de la fin d’un monde et la possible reconstruction d’un autre.

Texte : Samuel Gallet (Éditions Espaces 34)
Mise en scène : Aude-Laurence Biver
Avec : Juliette Allain, Bach Lan Lê-Ba Thi et Catherine Marques
Dramaturgie : Pierre Chevallier
Scénographie : Marco Godinho
Costumes : Carmen Di Pinto
Assistantes de mise en scène : Aurore Brugnera et Jillian Camarda
Création lumière : Manu Nourdin
Création sonore : Benjamin Zana 

20H : 18, 19, 24, 25, 26, 30 et 31 OCTOBRE 2024
17H : le 27 OCTOBRE 2024

Une co-production TOL/Compagnie du Grand Boube/Escher Theater

Comment peut-on mourir sans raison ? Inspiré d’un fait réel, ce poignant monologue raconte, avec fracas, une violence du quotidien souvent ignorée.

C’est l’histoire d’un meurtre gratuit. Un homme entre dans un supermarché, ouvre une canette de bière et la boit. Quatre vigiles surgissent, l’encerclent et l’emmènent dans la réserve. Là, au milieu des conserves, ils le battent à mort. Pour une canette. Pour rien.

Accompagné d’un musicien, le narrateur, incarné par Luc Schiltz, s’empare de cette tragédie pour en saisir les mécanismes et comprendre les origines d’une violence qui semble être omniprésente dans notre société. En nous plongeant dans la tête de la victime, partageant à la fois ses souvenirs et ses derniers instants, il nous confie, comme une responsabilité, la mémoire et la douloureuse humanité de cet homme.

Quand Noémie apprend que son fils est accusé de viol, son passé enfoui ressurgit avec fracas. Elle n’a pas d’autres choix que de confronter ses deux amis d’enfance, Vincent et Sébastien, qui l’ont agressée 25 ans plus tôt sur le bord du fleuve Saint-Laurent. Face au déni, face à la honte, le cours tranquille de la vie de l’ensemble des protagonistes va basculer… Récompensée en 2023 comme la meilleure œuvre dramatique au Québec, Les glaces casse les stéréotypes autour de l’agression sexuelle, tout en levant le voile sur les émotions qui poussent à s’emmurer dans un silence assourdissant, puis à le briser, courageusement.

Plongez dans l’effervescence d’une cité en proie à la révolte.

Érine. Andréa. Suzanne.
Trois femmes qui ne se connaissent pas.
Mais qui ont un point commun : la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Confrontées à une vie qui ne leur va plus et démunies face au monde actuel, elles se réfugient dans leur sommeil, se retrouvent dans un rêve commun et organisent l’assassinat du fameux tyran de Syracuse. Le rêve semble ici le seul moyen de se reconstruire, la seule solution d’entrevoir des issues dans l’opacité du présent, la seule manière de se réapproprier quelque chose d’elles-mêmes, quelque chose du monde qui les entoure.

Récompensé par de nombreux prix, et grâce à sa plume poétique, Samuel Gallet s’impose comme l’une des voix les plus singulières et stimulantes de la scène théâtrale contemporaine. Avec La Ville ouverte, il invite le public à plonger dans un univers aussi fascinant que bouleversant et à vivre la fuite réelle et imaginaire de ces trois femmes, qui raconteront l’histoire de la fin d’un monde et la possible reconstruction d’un autre.

Texte : Samuel Gallet (Éditions Espaces 34)
Mise en scène : Aude-Laurence Biver
Avec : Juliette Allain, Bach Lan Lê-Ba Thi et Catherine Marques
Dramaturgie : Pierre Chevallier
Scénographie : Marco Godinho
Costumes : Carmen Di Pinto
Assistantes de mise en scène : Aurore Brugnera et Jillian Camarda
Création lumière : Manu Nourdin
Création sonore : Benjamin Zana 

20H : 18, 19, 24, 25, 26, 30 et 31 OCTOBRE 2024
17H : le 27 OCTOBRE 2024

Une co-production TOL/Compagnie du Grand Boube/Escher Theater

Quand Noémie apprend que son fils est accusé de viol, son passé enfoui ressurgit avec fracas. Elle n’a pas d’autres choix que de confronter ses deux amis d’enfance, Vincent et Sébastien, qui l’ont agressée 25 ans plus tôt sur le bord du fleuve Saint-Laurent. Face au déni, face à la honte, le cours tranquille de la vie de l’ensemble des protagonistes va basculer… Récompensée en 2023 comme la meilleure œuvre dramatique au Québec, Les glaces casse les stéréotypes autour de l’agression sexuelle, tout en levant le voile sur les émotions qui poussent à s’emmurer dans un silence assourdissant, puis à le briser, courageusement.

Plongez dans l’effervescence d’une cité en proie à la révolte.

Érine. Andréa. Suzanne.
Trois femmes qui ne se connaissent pas.
Mais qui ont un point commun : la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Confrontées à une vie qui ne leur va plus et démunies face au monde actuel, elles se réfugient dans leur sommeil, se retrouvent dans un rêve commun et organisent l’assassinat du fameux tyran de Syracuse. Le rêve semble ici le seul moyen de se reconstruire, la seule solution d’entrevoir des issues dans l’opacité du présent, la seule manière de se réapproprier quelque chose d’elles-mêmes, quelque chose du monde qui les entoure.

Récompensé par de nombreux prix, et grâce à sa plume poétique, Samuel Gallet s’impose comme l’une des voix les plus singulières et stimulantes de la scène théâtrale contemporaine. Avec La Ville ouverte, il invite le public à plonger dans un univers aussi fascinant que bouleversant et à vivre la fuite réelle et imaginaire de ces trois femmes, qui raconteront l’histoire de la fin d’un monde et la possible reconstruction d’un autre.

Texte : Samuel Gallet (Éditions Espaces 34)
Mise en scène : Aude-Laurence Biver
Avec : Juliette Allain, Bach Lan Lê-Ba Thi et Catherine Marques
Dramaturgie : Pierre Chevallier
Scénographie : Marco Godinho
Costumes : Carmen Di Pinto
Assistantes de mise en scène : Aurore Brugnera et Jillian Camarda
Création lumière : Manu Nourdin
Création sonore : Benjamin Zana 

20H : 18, 19, 24, 25, 26, 30 et 31 OCTOBRE 2024
17H : le 27 OCTOBRE 2024

Une co-production TOL/Compagnie du Grand Boube/Escher Theater

Plongez dans l’effervescence d’une cité en proie à la révolte.

Érine. Andréa. Suzanne.
Trois femmes qui ne se connaissent pas.
Mais qui ont un point commun : la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Confrontées à une vie qui ne leur va plus et démunies face au monde actuel, elles se réfugient dans leur sommeil, se retrouvent dans un rêve commun et organisent l’assassinat du fameux tyran de Syracuse. Le rêve semble ici le seul moyen de se reconstruire, la seule solution d’entrevoir des issues dans l’opacité du présent, la seule manière de se réapproprier quelque chose d’elles-mêmes, quelque chose du monde qui les entoure.

Récompensé par de nombreux prix, et grâce à sa plume poétique, Samuel Gallet s’impose comme l’une des voix les plus singulières et stimulantes de la scène théâtrale contemporaine. Avec La Ville ouverte, il invite le public à plonger dans un univers aussi fascinant que bouleversant et à vivre la fuite réelle et imaginaire de ces trois femmes, qui raconteront l’histoire de la fin d’un monde et la possible reconstruction d’un autre.

Texte : Samuel Gallet (Éditions Espaces 34)
Mise en scène : Aude-Laurence Biver
Avec : Juliette Allain, Bach Lan Lê-Ba Thi et Catherine Marques
Dramaturgie : Pierre Chevallier
Scénographie : Marco Godinho
Costumes : Carmen Di Pinto
Assistantes de mise en scène : Aurore Brugnera et Jillian Camarda
Création lumière : Manu Nourdin
Création sonore : Benjamin Zana 

20H : 18, 19, 24, 25, 26, 30 et 31 OCTOBRE 2024
17H : le 27 OCTOBRE 2024

Une co-production TOL/Compagnie du Grand Boube/Escher Theater

Plongez dans l’effervescence d’une cité en proie à la révolte.

Érine. Andréa. Suzanne.
Trois femmes qui ne se connaissent pas.
Mais qui ont un point commun : la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Confrontées à une vie qui ne leur va plus et démunies face au monde actuel, elles se réfugient dans leur sommeil, se retrouvent dans un rêve commun et organisent l’assassinat du fameux tyran de Syracuse. Le rêve semble ici le seul moyen de se reconstruire, la seule solution d’entrevoir des issues dans l’opacité du présent, la seule manière de se réapproprier quelque chose d’elles-mêmes, quelque chose du monde qui les entoure.

Récompensé par de nombreux prix, et grâce à sa plume poétique, Samuel Gallet s’impose comme l’une des voix les plus singulières et stimulantes de la scène théâtrale contemporaine. Avec La Ville ouverte, il invite le public à plonger dans un univers aussi fascinant que bouleversant et à vivre la fuite réelle et imaginaire de ces trois femmes, qui raconteront l’histoire de la fin d’un monde et la possible reconstruction d’un autre.

Texte : Samuel Gallet (Éditions Espaces 34)
Mise en scène : Aude-Laurence Biver
Avec : Juliette Allain, Bach Lan Lê-Ba Thi et Catherine Marques
Dramaturgie : Pierre Chevallier
Scénographie : Marco Godinho
Costumes : Carmen Di Pinto
Assistantes de mise en scène : Aurore Brugnera et Jillian Camarda
Création lumière : Manu Nourdin
Création sonore : Benjamin Zana 

20H : 18, 19, 24, 25, 26, 30 et 31 OCTOBRE 2024
17H : le 27 OCTOBRE 2024

Une co-production TOL/Compagnie du Grand Boube/Escher Theater

Plongez dans l’effervescence d’une cité en proie à la révolte.

Érine. Andréa. Suzanne.
Trois femmes qui ne se connaissent pas.
Mais qui ont un point commun : la sensation de vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.

Confrontées à une vie qui ne leur va plus et démunies face au monde actuel, elles se réfugient dans leur sommeil, se retrouvent dans un rêve commun et organisent l’assassinat du fameux tyran de Syracuse. Le rêve semble ici le seul moyen de se reconstruire, la seule solution d’entrevoir des issues dans l’opacité du présent, la seule manière de se réapproprier quelque chose d’elles-mêmes, quelque chose du monde qui les entoure.

Récompensé par de nombreux prix, et grâce à sa plume poétique, Samuel Gallet s’impose comme l’une des voix les plus singulières et stimulantes de la scène théâtrale contemporaine. Avec La Ville ouverte, il invite le public à plonger dans un univers aussi fascinant que bouleversant et à vivre la fuite réelle et imaginaire de ces trois femmes, qui raconteront l’histoire de la fin d’un monde et la possible reconstruction d’un autre.

Texte : Samuel Gallet (Éditions Espaces 34)
Mise en scène : Aude-Laurence Biver
Avec : Juliette Allain, Bach Lan Lê-Ba Thi et Catherine Marques
Dramaturgie : Pierre Chevallier
Scénographie : Marco Godinho
Costumes : Carmen Di Pinto
Assistantes de mise en scène : Aurore Brugnera et Jillian Camarda
Création lumière : Manu Nourdin
Création sonore : Benjamin Zana 

20H : 18, 19, 24, 25, 26, 30 et 31 OCTOBRE 2024
17H : le 27 OCTOBRE 2024

Une co-production TOL/Compagnie du Grand Boube/Escher Theater